Ici pour servir l'humanité

Notre famille

Nous vous comprenons

Il est temps de transformer l’impossible en possible

Philipe Medeiros

Ma seule et unique mission de vie est d’aider l’humanité à se libérer. Mon seul vœu est de lui redonner son pouvoir pour qu’il puisse briser les chaînes qui l’empêche de vivre la vie qu’il mérite. La société nous dicte constamment quoi faire et quoi penser, nous limitant dangereusement dans l’expression de notre vrai soi. Combien de gens vivent dans la peur, l’anxiété et le mécontentement? Combien de gens vivent une vie qui ne les représente pas, tout en répétant constamment les mêmes schémas d’actions et de pensées? La réponse? La majorité des gens et je peux vous dire que j’en faisais partie. 

Après une enfance difficile et une carrière policière hors du commun, j’ai dû faire face au côté le plus sombre de l’humanité. Le résultat? J’ai longtemps été pris dans mes propres peurs, mon anxiété, mes traumas et mes mécanismes de défense. Je ne comprenais pas pourquoi je me sentais toujours insatisfait, malgré toutes mes réussites. À mes yeux je ne me trouvais jamais assez. Je ne comprenais pas pourquoi mes relations interpersonnelles étaient toujours conflictuelles. Je ne réalisais pas que j’utilisais l’alcool, les sorties et les activités comme échappatoire, car je ne voulais pas me retrouver seul avec moi-même. 

Un jour, j’ai cassé. Un jour, mon âme n’en pouvait plus de vivre d’une telle manière. Une voix à l’intérieur de moi me disait que la vie ne pouvait pas être cela. J’ai donc commencé à l’explorer et à l’expérimenter comme jamais auparavant. Et c’est là que j’ai tout découvert. 

J’ai découvert que nous avons tous le pouvoir de créer notre propre réalité, de vivre en harmonie avec soi et de vivre avec une confiance, un calme intérieur et même une joie. Des choses qui me semblaient impossibles sont soudainement devenues possibles. Tous ces apprentissages ont été une révélation pour moi, mais à quoi bon le garder pour soi? Il est maintenant temps pour moi de partager le tout avec vous.

Catherine Feltrin

Ma jeunesse à pris place dans un environnement remplis de violence et d’abus. Je me suis rapidement rendu compte que l’adulte était malheureusement plus souvent qu’autrefois un enfant qui jadis avait lui aussi été blessé. Par la force des choses, l’adulte devient donc à son tour l’agresseur de quelqu’un d’autre.

Très jeune, n’étant plus capable de vivre toute cette horreur, j’ai perdu espoir en la vie. Me sentant seule et apeurée, une chanson m’a sauvé, « I’m OK » de Christina Aguilera. Je m’étais vu en Christina Aguilera qui elle aussi disait avoir été violentée dans sa jeunesse, mais qu’elle s’en était sortie. Elle a su inspirer en moi une force inexplicable qui m’a permis de retrouver l’espoir qu’un jour tout ceci allait terminer.

Ma mission de vie est donc devenue claire à mes yeux. Je devais en premier lieu survivre, pour ensuite me guérir et pouvoir finalement chanter mon histoire, afin d’inspirer à mon tour les gens qui souffrent en silence. La musique est donc devenue mon refuge. Un endroit où je pouvais m’évader de mon cauchemar et qui me permettait enfin de me vivre. Elle m’a donné la force et le courage d’avancer sans jamais perdre espoir.

J’ai su survivre à mon enfance, mais celle-ci m’avait endommagé au plus profond de mon être. Après plusieurs années à ignorer mes démons, je suis tombée au plus bas de mon existence. Il était maintenant temps pour moi de guérir. Un cheminement personnel a donc pris naissance. 

À l’aide de la psychologie, de la spiritualité et de mon conjoint, j’ai su faire la paix avec mon passé et trouver l’harmonie qui se trouvait en moi. Après plusieurs formations sur le système nerveux et le stress, une formation de l’université John F. Kennedy sur la guérison des traumas, deux formations en soins énergétiques, ainsi qu’une formation de sono-thérapeute, je suis enfin prête à utiliser ma voix pour créer une communauté où la guérison et le non-jugement est notre objectif collectif.

Quittons le jugement et soyons bienveillant les uns envers les autres, car nous ne savons pas par où les gens ont passé.